(Rencontres de la photographie et le OFF des rencontres de la photographie)
Le modèle économique de ces festivals sous le terme « Les rencontres de la photographie d’Arles » est atypique.
Cela représente 7 millions de dépenses pour les territoires, pour 23 millions d’euros d’effets indirects. Parfois, Arles manque d’hébergements lors du mois de juillet.
Les rencontres de la photographie d’Arles intéressent les entreprises sur un budget de 7 millions d’euros, le mécénat apporte 20% des recettes pour cet événement, un des plus événement de la photographie dans le monde et ce qui protège cet évènement des soubresauts politiques des territoires.
En 2023, les rencontres de la photographie d’Arles ont connu une fréquentation record lors de la première semaine. 19500 professionnels et passionnés s’y sont retrouvés, 40% de ce public venait de l’étranger. C’est 5% de plus qu’en 2022.
C’est aussi un système économique atypique avec:
• Une centaine d’emplois aidée sur un effectif de 400 salariés
• Un auto-financement très élevé (58%)
• Un recours massif à la co-production et un dédommagement très symbolique aux artistes (par cachet, cession de 7h)
L’officiel des Rencontres de la photographie c’est :
. 38 expositions avec 10 associées réalisées par d’autres institutions (musée Réattu, LUMA Arles…)
. Une semaine d’ouverture où « Officiel » et « Off » se mélangent
. Aucun bénévole ni cachet pharaonique
L’association loi 1901 nommée « les Rencontres » gère « les rencontres de la photographie » (« l’officiel ») représente:
. 50 salariés à l’année
. 400 lors du festival
. 50% de contrats aidés par l’état dans une ville où 24% de la population atteint le seuil de pauvreté en 2021
A ce jour, aucun chiffre n’a été divulgué par l’association la Kabine qui gère le OFF des rencontres de la photographie d’Arles
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