La dette

ou les illusions non perdues

Off Avignon 2024
Bourse du travail CGT
12h30 tous les jours (p 131 du catalogue)

Il y a deux façons de conquérir et d’asservir un pays. L’une est par l’épée. L’autre par la dette »

John Adams ambassadeur et diplomate homme d’Etat (1735-1826)

Sous le registre d’un Griot, Franck CHEVALLAY aborde le thème de la dette qui en réalité n’est pas un problème en dehors du rapport de force entre l’Etat et le système économique coupée artificiellement de l’Etat Eternel.

La dette n’est pas un problème économique par essence. La durée de vie de l’Etat est éternel, et il émet la monnaie qu’il dépense.

Tant qu’elle ne génère pas d’inflation, elle n’est pas dangereuse.

L’histoire de la dette publique française est riche et complexe, et on nous la conte à partir de 1848 et la bulle spéculative.

On nous la confie à travers la métaphore du banquier épris de compassion pour un être humain dans un village africain qui doit développer une économie minière, ce qui mine le personnage épique de l’histoire, car ce banquier est habité par différents esprits qui font la dette: le rapport de force et la courbe.

Si vous voulez voir un seul en scène intelligent, spirituel, pédagogique et métaphorique; il faut y assister.

« Un libéral est une personne pensant avoir une dette envers ses semblables, dette qu’il propose de régler avec votre argent »

John Gordon Liddy, le cerveau du Watergate