Point 1 – Église Sainte-Anne – accès escalier
1 juillet – 29 septembre 2024
10H00 – 19H30
DERNIÈRE ENTRÉE 30 MINUTES AVANT LA FERMETURE
BANDO (1965), Patrick Bona (1993), Sophie Bramly (1959), André Cadere (1934-1978), Miriam Cahn (1949), Sophie Calle (1953), Gusmano Cesaretti (1944), Henry Chalfant (1940), Martha Cooper (1943), Bruce Davidson (1933), John Divola (1949), David Douard (1983), Mathias Énard (1972), ENERI (1996), Stanislas “FUZI” Baritaux (1975), HONET (1972), Pablo Jomaron (1992), JR (1983), Lisa Kahane (1959), Tseng Kwong Chi (1950-1990), Mierle Laderman Ukeles (1939), Maï Lucas (1968), Hans Leo Maes (1975), Silvio Magaglio (1975), Ari Marcopoulos (1957), Gordon Matta-Clark (1943‑1978), Barry McGee (1966), MODE 2 (1967), Tania Mouraud (1942), Omori Yoshi (1962), Jill Posener (1953), Alexander Raczka et Anatole Abitbol (1995 ; 1994), Jay Ramier (1967), SAEIO (1987‑2017), Marion Scemama (1950), Jamel Shabazz (1960), SKKI© (1967), Melchior Tersen (1987), Pablo Tomek (1988), Toni (1993), Fabrice Yencko (1985) et Gérard Zlotykamien (1940).
Le graffiti peut s’apparenter à la photographie, car c’est un instant éphémère capté et un objet disposé dans un temps infini.
Au nom du nom, c’est cette histoire qui englobe l’histoire, des années 60 à aujourd’hui en dehors de son créateur Combread.
La plupart des photographes sont de New-York, le berceau du graffiti. Pour nous, français provençal de la génération X, cela nous rappelle une émission de télé et aussi des premières impressions picturales comme Jean Michel Basquiat et Keith Haring que nous voyons en couleurs et noir et blanc dans cette rétrospective.
La photographie et le graffiti ont le point commun de la rue, les espaces publics qui témoignent par leur savoir-faire. Tout cela se rend visible et le public a la chance de voir évoluer ces deux arts ensemble, où ils se sont hybridés.
L’église Sainte-Anne est le témoin de cette histoire qui évolue en 2.0.
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